Des châteaux, en France, il en existe des dizaines et des dizaines. Ce sont toujours des lieux un peu magiques, qui nous font voyager à travers le temps et l’espace. On peut par exemple citer Breteuil, puisque ce château nous entraîne dans un univers féérique qui nous plonge dans les contes de Perrault, ou bien Fougeret, un château atypique datant du XVe siècle, qui nous transporte dans un monde à la limite du surnaturel. Phasmophobes, on préfère vous prévenir, vous feriez mieux de passer votre tour…
Une histoire qui fait froid dans le dos
C’est non loin de Poitiers, et à moins de 2h en train de la capitale, que se cache ce lieu vraiment pas comme les autres. Situé sur les hauteurs d’une falaise, voilà plusieurs siècles maintenant qu’il surveille la vallée de la Vienne, se faisant ainsi le témoin d’événements historiques et paranormaux, aussi bien en dehors de ses murs que juste sous son toit…
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En effet, le domaine a de nombreuses fois changé de mains au cours de son existence. Des propriétaires divers et variés qui ont tous marqué les lieux en y mettant en place des transformations architecturales et paysagères, mais également en étant souvent soumis à des morts violentes, étranges, précoces, et parfois inexpliquées. Il n’en fallait pas plus pour que la légende émerge, et que le château gagne le titre de l’un des lieux les plus hantés de France.
Des expériences surnaturelles
Depuis, nombreux sont les témoins qui affirment avoir été victimes de situations inexplicables dans les couloirs du château, définitivement envahi par des présences venues de l’au-delà. Une image à la fois terrifiante et fascinante, que les actuels propriétaires ont décidé de prendre à bras le corps, en organisant des conférences, des séjours à thèmes, ou encore des soirées medium.
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Amateurs de frissons, qui ne supportez pas d’attendre 365 jours entre deux célébrations d’Halloween, on a sans doute trouvé le lieu parfait où satisfaire vos besoins de montée d'adrénaline. Mais on vous prévient : si vous vous réveillez en pleurs suite aux chuchotements de l’officier découpé à coups de hache, aux pleurs de la jeune fille morte noyée ou aux caresses de la vieille dame baisant le front des dormeurs, il ne faudra pas venir vous plaindre…
