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Après le cambriolage, le Louvre pris d'assaut pour sa réouverture

undefined undefined 24 octobre 2025 undefined 13h00

undefined undefined 28 octobre 2025 undefined 16h24

Clémence Varène

Décidément, depuis le week-end dernier, le Louvre cumule les événements historiques. Dans un premier temps, dimanche 19 octobre, l’institution a été victime d’un cambriolage inédit, réalisé en moins de 7 minutes et lui coûtant tout de même 88 millions d’euros de bijoux. Puis, en milieu de semaine, sa réouverture a provoqué un mouvement de foule comme on en avait rarement vu dans l'histoire de ce musée inauguré en 1793 (oui, c’était il y a longtemps).


Le Louvre dans la tempête

Ils ont été nombreux, trop nombreux, à être frustrés en ce début de semaine, faute de pouvoir accéder à certains des plus grands chefs-d'œuvre de l’histoire de l'art dans les couloirs du Louvre. Alors, forcément, quand le musée a annoncé enfin rouvrir ses portes après 3 jours de fermeture, tous les touristes présents pour quelques jours seulement se sont précipités sur les lieux de ce crime déjà culte.

Mais malheureusement, ils n’étaient pas les seuls à vouloir passer les portes de l’institution, que ce soit pour une visite prévue de longue date, ou pour se rendre sur les lieux de l’incident qui fascine la capitale depuis maintenant 5 jours. En ont résulté des heures et des heures de queue, même pour ceux déjà en possession d'un billet. Mauvaise nouvelle pour eux cependant, si le musée accueille à nouveau le public, la galerie Apollon, où se trouvent les bijoux, reste quant à elle encore fermée.


Un vol entré dans la légende

Pour rappel, ce dimanche 19 octobre, le musée a été la cible d’un cambriolage tout simplement historique. Vers 9h30, 4 hommes se sont introduits dans l’institution à l’aide d’une nacelle et d’une disqueuse, avant de repartir moins de 10 minutes plus tard, un butin de près de 90 millions d’euros de préjudice entre les mains. Pour l’instant, aucun des hommes n’a été retrouvé, pas plus que les 8 bijoux précieux dont ils se sont saisis. Un vol déjà historique, qui risque bien de renforcer un peu plus la popularité du Louvre — peut-être pas pour les bonnes raisons, certes — pendant encore un moment.