On se demande comment changer les choses
"Regards féminins : une révolution au-delà du 8 mars" est une conférence dans le cadre du festival Pop meuf. Venez rencontrer l’équipe de Gaze et assister à notre évènement du 8 mars, dans le cadre du festival féministe Pop meuf au Pavillon des Canaux. Il recevra 3 merveilleuses contributrices de la revue : la poétesse Kiyémis, la photographe et perforeuse Romy Alizée et l’historienne de l’art Hortense Belhôte. Ensemble, on se demandera comment le female gaze peut être un outil pour faire la révolution – et pas seulement le 8 mars.
Regards féminins : une révolution au-delà du 8 mars
Le Pavillon des Canaux
39, quai de Loire – 19e
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On écoute nos chanteuses préférées reprendre des titres d’icônes de la musique
Imaginez-vous. Pour cette belle journée ensoleillée du 8 mars, mettre vos écouteurs et écouter les puissantes voix des deux sœurs Ibeyi reprendre Would you mind de Janet Jackson. À l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Deezer dévoile son tout nouveau projet Icônes et célèbre les artistes féminines en demandant à nos chanteuses préférées du moment de réinterpréter des titres emblématiques. Ainsi Ibeyi, Le Juiice, Emma Peters, Poupie et Crystal Murray sont les premières artistes à rejoindre ce projet, en écoute exclusive sur Deezer. Hâte d’entendre la voix de Emma Peters reprendre La Déclaration d'amour de France Gall ou celle de Poupie sur Jolene de Dolly Parton.
On s’approprie son corps
La Mutinerie est un bar lesbien, trans et féministe en autogestion. Il organise pendant 3 jours un évènement de tatouage et de piercing à prix cassés. Vous pourrez vous faire percer le nez pour 20 euros et vous faire tatouer à partir de 50 euors. Tout ça dans des conditions d’hygiène irréprochables et une ambiance éléctrique. Mais attention, premier arrivé, premier servi !
Flash tattoos & piercings
La Mutinerie
176, rue Saint-Martin – 3e
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On va voir une pièce adaptée de notre grande Mona Chollet
Mona Chollet nous questionne, nous guide... et qu'est-ce qu'on aimerait porter les cheveux blancs avec son assurance. « Si vous êtes une femme et que vous osez regarder à l’intérieur de vous-même, alors vous êtes une sorcière », peut-on lire en exergue du texte désormais culte de l'auteure. Qui mieux que la sorcière, et sa résurgence dans des incarnations contemporaines (la femme indépendante, la femme sans enfant, la femme aux cheveux blancs…), interroge les normes dominantes qui pèsent et modèlent les féminités ? Le collectif À définir dans un futur proche propose une adaptation de l’ouvrage dans laquelle textes et musiques alternent et résonnent avec évidence.
Sorcières de Mona Chollet adaptée par Géraldine Sarratia
Espace 1789
2, rue Alexandre-Bachelet – Saint-Ouen (93)
Du 7 mars 2022 au 8 mars 2022
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On affirme qu’on n'a pas peur
Pauline Makoveitchoux expose au Quartier Jeunes une partie de ses clichés qui nous montre que la peur doit changer de camp. « Ma série photographique est composée de portraits individuels et de photos de groupe. Par cette réalisation j’exprime, avec et par les femmes présentes sur les photos, la réappropriation des espaces publics par les femmes. Je réalise la série photo Women are not afraid afin de donner de la visibilité aux femmes puissantes qui reprennent légitimement les espaces publics. »
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Women are not afraid
QJ - Quartier Jeunes
4, place du Louvre – 1e
Du lundi 7 au jeudi 31 mars 2022
Gratuit
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On soutient les femmes dans l’industrie de la musique
C'est le lendemain de la journée des droits des femmes, le 8 mars, que ces reines inonderont la salle de l’Alimentation Générale de leur force de frappe, et vous emmèneront dans des constellations aussi variées que la musique urbaine elle-même. La présence des femmes dans le monde des musiques actuelles est pour l'instant mineure, avec 5% d'instrumentistes et 17% d'autrices inscrites à la SACEM, ainsi qu’une faible présence sur les affiches des festivals de rap. Le 9 mars à l'Alimentation Générale, c'est l'occasion de venir soutenir une nouvelle génération d'artistes, de partager leur énergie débordante, leur talent, leur chaleur et la joie de pouvoir être tou·te·s ensemble.
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Urbain féminin
L'Alimentation Générale
64, rue Jean Pierre Timbaud – 11e
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On danse pour manifester
Le corps de la femme est au cœur de toutes les discussions féministes. Tantôt regardé, observé, jugé, sifflé, touché, frappé, tantôt caché, détesté, renié... La danse apparait alors comme ultime revendication. Elle apprend à assumer sa féminité et à se libérer de ses émotions en déhanchant son corps. Booty Theraoy affirme à ce sujet : « Plus qu’un concept, c’est une libération ! » Alors oui, notre génération est ballotée entre toutes ses considérations graves et nécessaires sur la condition de la femme. Mais elle n’oublie jamais de se réjouir, de danser, de vivre et d’aimer. Pour l’occasion, le Bus Palladium organise son ultime Women’s Night. Les soirées "Ladies Night" ont été émancipatrices et iconiques pour toute une génération de femmes car la nuit leur appartenait. Mesdames et messieurs, nous vous invitons à célébrer toutes les femmes !
© Le bus Palladium
Ultime women's night
Bus Palladium
6, rue Pierre Fontaine – 9e
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On s’abonne à un journal féministe pour s'éduquer et soutenir ses sœurs
La Déferlante
C’est un magazine qu’on admire pour son engagement, ses invités et son esthétisme. On se balade entre les sujets passionnants avec des interludes dessinés, chiffré qui nous renseignent sur la condition de la femme. C'est une revue trimestrielle qui pense l’époque au prisme du genre et qui analyse la société dans une perspective féministe. En mars 2022, La Déferlante fête son premier anniversaire. Après Annie Ernaux et Céline Sciamma, Agnès Jaoui et Clémentine Autain, Christiane Taubira et Alice Diop, La Déferlante réunit la journaliste Rokhaya Diallo et la comédienne Adèle Haenel. Dans le long entretien qui ouvre la revue, elles échangent sur leurs parcours et leurs engagements respectifs.
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Censored Magazine
Censored, c’est un magazine indépendant inspiré des mouvements punk et Do It Yourself pour documenter l’avant-garde féministe. Pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, ce magazine ouvre officiellement les précommandes de son prochain numéro « Living in a Fantasy World? ». C’est un média indépendant créé par deux sœurs, engagé dans les luttes féministes par un prisme culturel et artistique. C'est une newsletter hebdomadaire gratuite et un beau magazine papier semestriel payant (il coûte 20€).
On rencontre une grande photographe de guerre française
Le Café Joséphine a choisi la photographe correspondante de guerre et plasticienne Christine Spengler pour célébrer la journée de la femme. Elle signera ses livres de 17h à 20h, entourée de ses photos les plus emblématiques.
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Rencontre avec Christine Spengler
Le café Joséphine
1-3, place des 2 Écus – 1er
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