Une adolescente de 16 ans victime de viol dans le 18e

undefined 3 janvier 2023 undefined 13h01

Auriane Camus

Une triste nouvelle pour démarrer l’année 2023… Dans le 18e arrondissement de Paris, une jeune fille de 16 ans aurait été victime d’un viol en réunion, jeudi 29 décembre. Elle a été retrouvée dans un bus où elle s’était réfugiée. Une enquête a été ouverte et un suspect aurait été interpellé, selon les sources d’Actu Paris.


Un viol en réunion près de la Porte de Clignancourt

Après les faits, l’adolescente s’est réfugiée dans un bus à l’arrêt Mont-Cenis où elle aurait dénoncé le viol et l’agression. Elle raconte aux policiers avoir été amenée de force dans un hall d’immeuble, près de la Porte de Clignancourt, par plusieurs individus, où elle aurait été frappée, dépouillée et violée.

Les faits se seraient produits vers 22h30, le jeudi 29 décembre. La jeune fille aurait passé la soirée à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, au domicile d’un homme rencontré sur les réseaux sociaux. Elle aurait eu un rapport sexuel consenti avec lui, avant de lui dérober de l’argent et de rentrer chez elle, selon Le Figaro.


Cinq personnes impliquées, une seule interpellée

Après son départ, l’homme chez qui elle se trouvait se serait rendu compte du vol et serait allé au domicile de la jeune fille, dans le 18e, accompagné d’un ami. Emmenée dans le hall d’un immeuble, elle aurait été frappée et son téléphone lui aurait été dérobé. La victime raconte que l’un des agresseurs l’aurait également violée, pendant que la scène a été filmée. Elle aurait ensuite réussi à prendre la fuite pour se réfugier dans le bus avant d’être transportée à l’hôpital.

D’après Actu Paris, cinq personnes auraient participé à l’agression. L’une d’entre elles a déjà été interpellée par les agents de la RATP, après avoir été désignée par la jeune fille. Il a ensuite été remis à la police. Le parquet de Paris indique qu’une enquête a été ouverte pour « vol et viol commis en réunion sur mineure de plus de 15 ans ». Les investigations ont été confiées à la brigade de protection des mineurs (BPM).