Le street-artist Kongo réalise une œuvre pour remercier les soignants à Lariboisière

undefined 12 mai 2020 undefined 12h09

Manon Merrien-Joly

De grands éclats de couleurs sur le kiosque à musique situé au centre de la cour, ainsi que sur la galerie de la chapelle de l'hôpital Lariboisière, dans le 10e arrondissement. C'est la toute dernière œuvre du street-artist Kongo, membre du groupe M.A.C. (Morts Aux Cons). À l'instar de Banksy sur les murs de l'hôpital de Southampton au Royaume-Uni, l'artiste français a tenu à remercier les soignants à sa manière. 


"Pour remercier et soutenir le personnel soignant sur le front ces derniers mois" 

« De l’art pour remercier le personnel soignant , je suis heureux d’avoir réalisé ce projet à l’hôpital Lariboisiere, il était primordial pour moi de pouvoir servir durant cette crise. J’espère que ce projet aura emmené de la couleur, de la joie et de l’amour à nos héros. Merci pour votre dévouement. », a publié Kongo sur son compte Instagram.

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Some art to say thank you. I ‘am so delighted about this project. It was really important for me to be able to contribute. I hope this project brings colors , smile and love to our heroes.Thank you for your devotion. . . De l’art pour remercier le personnel soignant , je suis heureux d’avoir réalisé ce projet à l’hôpital Lariboisiere, il était primordial pour moi de pouvoir servir durant cette crise. J’espère que ce projet aura emmené de la couleurs de la joie et de l’amour à nos héros. Merci pour votre dévouement. . Merci à @aaronjahstone , @artkanoid_gallery , Raphy et le professeur Henry pour avoir rendu ce projet possible. . . . . #cyrilkongo #hopitallariboisiere #loveistheanswer #installation #art #medical #lockdown #deconfinement #gratitude #merci

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Il a également expliqué sa démarche dans une vidéo dans laquelle il explique qu'« applaudir à 20h, c'est super, mais [je] voulais rajouter humblement ma touche et pouvoir leur montrer toute [ma] gratitude envers leur dévouement ». Le street-artist a également annoncé dans une interview à 20 Minutes qu'il allait « éditer des digigraphies qui seront mises en vente à 500 €, et dont les bénéfices iront à l’hôpital ».