Cette année encore, des milliers de héros sont venus fêter l’été au premier festival qui allie lutte contre de le sida, musique et sourires. Et c’est sous un soleil inespéré (et presque sans pluie) que Solidays a réunit le meilleur de la scène actuelle pour une fête géante et colorée avec plus de 200 000 bonnes âmes. Un record ! On y était et on vous raconte nos moments préférés.
Oxmo sous le Dôme
Samedi, notre petit chouchou Oxmo, accessoirement en couverture du Bonbon nuit, fait claquer ses textes sous le Dôme, devant une foule super passionnée et admirative. On n’oublie pas l’annonce de son nouveau statut de “Rappeur de l’amour”, provoquant un éclat de rire dans le public !
Le match sur écrans géants
La musique, ok, mais n’oublions pas l’Euro et le match France-Irlande ! On se presse pour arriver à temps pour le match. Solidays a tout prévu et fait les choses en grand : deux écrans géants, beaucoup d’espace… une fan-zone version teuf, en somme. Les concerts font trembler le sol ou serait-ce les spectateurs pendus aux pieds de notre chère équipe de foot ?
Ibrahim Maalouf
Après la victoire des Bleus, le trompettiste nous a tout simplement laissé sans voix. L'auteur du Red & Black Light, qui a signé la musique du film Dans Les Forêts de Sibérie, réussi à mettre tout le monde en transe avec son univers métissé et la folle énergie qu’il déploie.
La Color Party
Après la Color Run, les Solidays lance la Color Party, inspiré de la fête Hindou, Holi. Les bénévoles distribuaient des sachets vert, jaune, rose, bleu… pour une pluie de pigments sur les festivaliers ! Autant vous dire que les concerts des légendaires Cypress Hill et Louise Attaque furent particulièrement bariolés vu d’en haut ! Il nous reste même encore quelques couleurs dans les cheveux....
Jain et sa bulle géante
“Makeba, Make Bella…” Comment sortir cet air de notre tête ? Après un show d’une énergie incroyable (et quelques petits problèmes sonores) qui met tout le monde d’accord, Jain finit en beauté dans une bulle géante en sautant dans la foule prête à la faire rebondir. On espère juste que personne ne s’est fait mal en la portant !
Un seul regret : que ce festival au bon karma nous quitte au bout de trois jours, amenant avec lui le soleil… Rendez-le nous please !