Airbnbaise : ils tournent un porno hardcore chez elle sans son accord...

undefined 19 décembre 2016 undefined 00h00

Sophie

Beaucoup tentent l’aventure Airbnb sans trop se soucier des répercussions engendrées par des étrangers qui débarquent chez soi. En règle générale, on a plutôt peur de se faire choper par son proprio quand on sous-loue en scred plutôt que d’imaginer une seconde que certains répondent à ces offres à des fins chelous. Lorsque Kristina Knapic à retrouvé sa baraque flinguée et puant le sexe sale, les limites de l’échange de bons procédés lui ont tout de suite paru plus claires.

Le 16 août dernier, après avoir loué pendant cinq jours sa villa d'Ojai, en Californie, Kristina Knapic eut une drôle de surprise. En effet, kits de lavement jonchaient le sol, les lits, il y en avait même dans les tiroirs et les poubelles. Selon les documents juridiques mis en lumière par The Smoking Gun, la petite dame a également eu le plaisir de trouver des sextoys usagés ainsi que les fluides corporels qui vont de paire. La cerise sur le gâteau étant l’eau du jacuzzi devenue marron et les draps tachés. Cool cool.

Sur le compte de l’acte manqué ou d’une suprême stupidité, non contente d’avoir laissé leurs affaires traîner partout, des cartes de visite de la production à l’origine de cette orgie commanditée ont été retrouvées dans la villa. Ainsi, Kristina Knapic a pu intenter une action en justice contre la maison de production Lucas Entertainment pour dommages matériels, rupture de contrat et dommages psychologiques. Ces derniers ont en effet reconnu avoir tourné un porno gay hardcore et risquent donc de devoir payer la modique somme de 30 000 dollars.

C’était sans doute les 5 jours de sous-loc’ les plus rentables qui soient. Vive Airbnb, vive le porno gay hardcore, vive le caca qui flotte.

 

(source couverture)