Initialement imaginé au Mont-Valérien, à Suresnes, le musée-mémorial du terrorisme devait voir le jour sur ce site hautement historique. Mais face à des coûts jugés trop élevés, le projet a dû revoir sa copie.
C’est finalement dans une caserne désaffectée du 13e arrondissement que le musée prendra place, une décision validée par Emmanuel Macron et communiquée aux associations de victimes des attentats de 2015.
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Un changement de cap pour un projet symbolique
La caserne retenue, d’une superficie de 3 000 m², offre plusieurs avantages : un emplacement central, peu de travaux à prévoir et la possibilité de conserver la scénographie imaginée pour le Mont-Valérien.
Un choix qui ancre le projet dans Paris intra-muros, au plus près du public, dans un quartier en pleine mutation culturelle.
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Un hommage aux victimes et à la résilience collective
Pensé après les attentats de 2015, le musée-mémorial rendra hommage à toutes les victimes du terrorisme, en France et ailleurs. Plus qu’un lieu de recueillement, il se veut aussi un espace d’histoire et de pédagogie, pour comprendre « cette violence de guerre en temps de paix » qui a marqué nos sociétés depuis les années 1970.
