Allocution présidentielle : tour d\'horizon des tweets et détournements

undefined 11 décembre 2018 undefined 12h09

La Rédac'

Très attendue, l'allocution du président Emmanuel Macron n'a semble-t-il pas convaincu tous les Français, tant sur le fond que sur la forme. Et très vite, sur les réseaux sociaux, les moqueries, les détournements, les parodies et les mots d'esprit ont été échangés en ligne par les Gilets Jaunes et l'ensemble des Français. 


Après les 13 minutes d'un "discours à la nation" prononcé par un président adoptant air grave et gestes précis, une vague de posts a submergé aussi bien Twitter que Facebook. L'allocution présidentielle a rassemblé plus de 21 millions de téléspectateurs, soit autant que lors de la dernière finale de la Coupe du Monde. La posture d'Emmanuel Macron a suscité de nombreux messages devenus viraux. À l'image de ce tweet du compte appelé kilua, devenu un mème (élément culturel reconnaissable, répliqué et détourné): 


Avant  l'allocution 
  

Les internautes se sont lâchés, ils ont anticipé l'allocution du Président et on ne peut pas dire que les twittos manquent d'humour. Grinçants, ironiques ou même joyeux, leurs tweets ont fait mouche parfois et ont touché souvent les cœurs des Français en colère.


Bingo
 

Et comme souvent, l'éternel jeu du Bingo a été posté pour se moquer des discours possibles et des annonces que pourrait faire le président de la République. 


Le joueur de pipeau

Comme très souvent quand il s'agit de se moquer des hommes politiques, la figure du joueur de flûte ou de pipeau revient très souvent. Elle se passe de commentaire et fait appel à un imaginaire très puissant sur les mensonges dont nous bercent les représentant politiques. 


Après l'allocution 

Et après les annonces, les réactions ne diminuent guère : les mesures sont jugées insuffisantes par les Gilets Jaunes. À l'image de l'augmentation du revenu des travailleurs au Smic de 100€ brut, à partir du 1er janvier...

 


En musique...

Certains se sont amusés à coller une musique de circonstance, si l'on peut la qualifier ainsi... et même à faire danser le président Macron.