Votre grand-mère au grand coeur envoie encore des sous-sous par la Poste au profit d'une ONG ou d'une assoc' avec un chèque plié en quatre et une enveloppe pas transparente ? Montrez lui que le 3e millénaire a du bon et a la fibre altruiste. Amenez la sur la toile et faites lui découvrir Babyloan. Avec cet ami du web, en quelques clics, Mamie et vous aussi, pourrez financer un micro-entrepreneur du bout du monde.
Créée en 2008, la plateforme Babyloan.org est à la croisée des chemins entre le crowdfunding et la solidarité. Comme sur toute autre plateforme de financement participatif, vous choisissez le projet qui vous séduit le plus. Mais la personne que vous financerez ne sera ni votre ami en galère, ni les plus puissants de ce monde. Il s’agira d’un micro-entrepreneur du bout du monde qui a besoin d’un micro-crédit pour pérenniser sa petite entreprise. Un micro-entrepreneur dont les banques ne veulent pas, parce que trop pauvre et aussi trop isolé.
Sur Babyloan, vous pouvez financer avec d’autres philanthropes le microcrédit de Maria, couturière nicaraguayenne, qui souhaite acheter du tissu pour développer son activité. Ou prêter à Adélaïde, qui souhaite agrandir sa poissonnerie à Cotonou, au Bénin. Vous pouvez prêter à partir de 10 €, et vous recevrez rapidement les premiers remboursements de Maria et d’Adélaïde dans votre tirelire 2.0. Libre à vous ensuite de récupérer cet argent sur votre compte bancaire, ou de poursuivre le cercle vertueux en soutenant un nouveau projet sur Babyloan.org.
Les 36 000 Babyloaniens ont déjà investi plus de quatre millions d’euros sur la toile et c'est près de 25 000 micro-entrepreneurs de 19 nationalités différentes qui ont pu être soutenus. Avec le cercle vertueux et le système de réinvestissement, au total, plus de 11 millions d'euros ont financé ces projets à travers le globe. Si vous avez tout compris, n'oubliez pas d'expliquer à votre grand-mère les subtilités du prêt solidaire sur la toile à la sauce Babyloan. Honnêtement, il n' y a rien de compliqué, il lui faut juste un peu de solidarité.
