15 films de Noël à (re)regarder pour se mettre dans le mood des fêtes

undefined 29 novembre 2023 undefined 18h14

Flora Gendrault


Maman j’ai raté l’avion
(1990)

Le rêve de tous les enfant, et à la fois leur plus grande frayeur. Pouvoir tout faire sans demander l’aval de ses parents, et à la fois être oublié et devoir se débrouiller entièrement seul, même lorsque des cambrioleurs s’incrustent dans le domicile familial. Quand je crie « Kevin !!!!?? », ça vous parle ? Le film de Noël par excellence. 


Le Père-Noël est une ordure
(1979) 

M. Preskovitch et ses spécialités infectes, Katia, travesti dépressif, Josette (enfin Zézette) et son fiancé miteux Félix, Mme Musquin, les bénévoles Pierre et Thérèse… Lequel de ces marginaux est votre préféré ? 


The Holiday
(2006) 

Les comédies romantiques, on les aime quelle que soit la saison, mais surtout à Noël, lorsqu’on veut se consoler d’avoir trop peu chopé toute l’année. Celle-ci raconte l’échange d’appartement de deux femmes, l’une anglaise (Iris), l’autre américaine (Amanda). La première va débarquer dans une demeure de rêve tandis que la deuxième, très distinguée, découvre une petite maison de campagne sans prétention. Leur défi : se tenir loin de la gent masculine. Spoiler : c’est un échec cuisant.


Love Actually
(2003) 

Hugh Grant, Emma Thompson, Keira Knightley, Liam Neeson, Alan Rickman, Joanna Page… Que du beau monde pour crier l’amour façon London, sa beauté et ses dégâts, à travers dix idylles qui battent de l’aile la veille de Noël. 

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Harry Potter 
(2001 ; 2002)

Notre saga préférée, rien à rajouter. Pour Noël, petite préférence pour le premier volet, lorsque Harry fête Noël à Poudlard avec Ron et reçoit sa cape d’invisibilité. Le second a sa part de morale : nul besoin d’avoir 36 (et pas 37) cadeaux pour être comblé


Le Pôle Express (2004)

Comme Billy, ce voyage en train en direction du pôle Nord nous a presque convaincu·es que le père Noël existait vraiment. Les dessins ont un peu mal vieilli, certes, mais l’histoire est assez féérique pour rendre l’attente du passage des rennes moins pénible.  


L’étrange Noël de Monsieur Jack
 (1993)

On triche un peu avec celui-ci, qui correspond autant à Halloween qu’à Noël, voire plus, mais comme s’en offusque notre collègue adoré Raphaël : « C’est pas l’étrange Halloween de Monsieur Jack, que je sache ? » Alors oui, rappelons que le premier film d’Henry Selick, produit par Tim Burton, est aussi effrayant que génial, et parfait à se mater lors des préparatifs des fêtes. 


Le Grinch 
(2000 ; 2018)

Le grinch est un peu rebutant physiquement et bien trop grognon, mais aussi une figure incontournable de la culture de Noël. Entre la version de 2000 avec Jim Carrey et la version moderne de 2018, c’est vous qui choisissez : en tout cas, ce bonhomme vert kleptomane a toute sa place sur vos écrans. Il se pourrait même que vous vous y identifiiez si vous n’êtes pas le·la plus fan des fêtes de fin d’année


Elfe
(2003) 

Buddy, bébé abandonné par ses parents le jour du réveillon de Noël, est trouvé par le père Noël en personne, puis adopté par un elfe. Vous découvrirez l’épopée d’un homme un peu trop corpulent qui part à la recherche de son père biologique, un sinistre éditeur, à New York. Une comédie originale et irrésistiblement drôle pour accueillir Noël avec le sourire.


Edward aux mains d’argent 
(1990)

Edward aux mains d’argent marque la première collaboration entre Tim Burton et Johnny Depp, et pas des moindres. Ce film gothique, fantastique et romantique conte l’histoire d’Edward, homme créé avec un cœur, un cerveau, mais des lames de métal et des instrument tranchants en guise de doigts, son inventeur étant mort avant d’avoir pu terminer son œuvre. Un film de Noël qui s’inscrit dans la longue liste des collaborations fructueuses entre les deux hommes, des Noces Funèbres à Alice au pays des merveilles en passant par Sleepy Hollow


Charlie et la Chocolaterie 
(2005)

… et Charlie et la Chocolaterie. De la neige, une famille unie et du chocolat : oui, pour nous, cette pépite intemporelle a sa place dans ce top. Un petit garçon qui obtient son ticket d’or après l’avoir tant rêvé, c’est un peu comme un miracle de Noël. Sinon, ce film est juste parfait pour s’ouvrir l’appétit avant la montagne de chocolat qui nous attend sous le sapin (prions !). 


Huit femmes
 (2002)

Plus sombre, moins enfantin, mais tout aussi mythique. Huit Femmes, chef d’œuvre signé François Ozon, est une comédie musicale dramatique qui voit le maître de maison mourir. Musique, mystère de famille, actrices incroyables (Emmanuelle Béart, Fanny Ardant, Isabelle Hupert, Catherine Deneuve…) : on ne s’en lasse pas.


Gremlins
 (1984)

La vision d’un mogwai nous a déjà causé des terreurs nocturnes plus jeunes, soit. En même temps, on avait bien prévenu Rand Peltzer de ne pas faire n’importe quoi avec cette immonde créature, et notamment de ne pas l’exposer à la lumière, lui éviter tout contact avec l’eau, et surtout, SURTOUT, ne jamais le nourrir après minuit


Klaus 
(2019)

Si ce dessin animé ne figure pas dans la liste de vos classiques, il le sera dans une dizaine d’années. Diffusé exclusivement sur Netflix en 2019, il s’agit du premier long métrage d’animation original produit par la plateforme, et figure parmi les cinq films nommés aux Oscars 2020 dans cette catégorie. Ses dessins, sa texture, lumière, son scénario… Pour nous, le coup de cœur fut immédiat.  


Die Hard
(1988)

C'est Noël donc, et John McClane (Bruce Willis), un flic de L.A, essaie de sauver son couple en rendant visite à sa femme qui travaille à New York. Et bien sûr, il y va le jour où le building se fait braquer par des Allemands vénères. Il existe mille raisons pour lesquelles ce film est non seulement le meilleur film d'action de tous les temps, mais aussi le meilleur film de Noël. Mais j'ai la flemme de toutes les écrire, et ça ferait de l'ombre aux autres.


La Reine des Neiges 
(2013)

Dans les dessins animés glacés qui réchauffent notre coeur, je nomme La Reine des Neiges. La relation fraternelle entre Anna et Elsa, la répartie d’Olaf, Sven le renne : à re-re-re-regarder au chaud avec ses petit·e·s neveux et nièces. Hurler "Libérée, Délivrée" n’est pas une option, mais une obligation.