[PHOTOS] Un photographe immortalise la décadence de la nuit de Paris à Rio

undefined 28 août 2017 undefined 17h07

La Rédac'

Des corps nus, de la nature et du latex sur fond de transgression. Jean-Vincent Simonet a réalisé une série de photos sur le pendant ou l'après-teuf. Celle arrosée, saturée, pleine d'excès, qui te donne mal à la tête et à l'âme. Après, il en a fait des collages. 

Jean-Vincent Simonet est un jeune artiste basé à Paris et à Zurich. Il a 23 ans, est déjà en passe de se faire un nom. Son imaginaire poétique, il le nourrit des gens qu'il rencontre, de son ex, des artistes qu'il admire comme Egon Schiele. En 2014, il réalisait aussi une série directement inspirée des Chants de Maldoror (Tu peux la retrouver ici). Il raconte que le travail de Lautréamont emporte, qu'on y lit la peur du vide, l'angoisse. Comme lui, comme un écrivain effrayé par la page blanche, Jean-Vincent Simonet dit avoir besoin de remplir l'espace. Le combler.  Dans ses séries Wouldst thou like to live deliciously? qui capture ses moments festifs internationaux à Rio de Janeiro, le Caire, Paris, et I don't remember, série initialement publiée à Zurich, il traite de l'excès. Par ses collages, il comble ce vide. Il le sature.
 Voilà ce que ça donne.

 

Pour voir l'intégralité de son travail, son site ici.
Sa page insta ici