Basil : l’assiette locale, saine et gourmande pendant le confinement

undefined 26 avril 2020 undefined 15h53

Cindy Chevaux

À Marseille, Aix-les-Milles ou encore à la Duranne, Basil en a déjà conquis plus d’un. Chaque jour, un chef prépare des petits plats sains et gourmands, de l’entrée jusqu’au dessert, à commander pour la pause-déjeuner ou pour le soir. Avec des produits locaux, frais et de saison, cette start-up marseillaise prône le #mieuxmanger au quotidien. Un concept responsable, créé par 3 amis de longue date (Laura, Damien et Guney), qui a su s’adapter pour maintenir leur activité mais aussi pour les 15 salariés. Malgré le confinement, il est toujours possible de se faire livrer ces petits plats cuisinés.

Comment ça marche? 

À l’image de bien d’autres petites entreprises motivées par la situation actuelle, Basil continue ses livraisons pour le plus grand plaisir de tous. En télétravail ou au bureau, les commandes se font du lundi au vendredi midi mais également tous les soirs. Pour la zone géographique, vous pouvez vous faire livrer seulement à Marseille, du 1er au 8ème arrondissement. Via Uber Eats (le soir) ou l’application smartphone (IOS et Android) et le site web (le midi), renseignez l’heure et l’adresse. Ensuite, il ne vous reste plus qu’à ajouter à votre panier, le plat cuisiné local, qui vous met l’eau à la bouche.

Le petit plus ? En plus d’avoir des packs recyclables, les salariés de Basil vous livrent à vélo. Une nouvelle initiative encourageante pour préserver l’environnement.

Une start-up qui soutien le personnel soignant et les producteurs locaux 

Basil, c’est aussi une start-up engagée. « Soutenir les producteurs de la région est d’autant plus important en ce moment », explique Sima, membre de l’équipe Basil. L’entreprise utilise essentiellement des produits régionaux. Un concept qui fait du bien, surtout ces dernières semaines puisque les producteurs locaux se battent chaque jour pour préserver leur activité.Des repas sont également livrés au personnel soignant des hôpitaux de Marseille. « C’est notre manière de participer à l’effort collectif », précise Sima.