Boire c’est cool. Connaître ses limites, c’est mieux. Oui, parce que quand tu te retrouves à te faire sortir de boîte à 4h du matin après avoir eu la mauvaise idée d’aller vomir sur les platines du DJ, autant dire que tu te retrouves bien con.
Mais on risque pas de vous faire la morale, parce qu’on va vous avouer un truc : on en a fait des belles nous aussi. C’est pourquoi on a été inspirés pour dresser cette liste des pires idées de bourré qui viennent souvent gâcher nos soirées. Le genre d’idées à proscrire, mais qu’on a déjà tous eues, voire qu’on a déjà tous appliquées. À moins que tu t’appelles la Vierge Marie ou que tu sois un gros mytho. En tout cas, nous, on est prêts à parier qu’au moins 85% des lecteurs de cet article vont se reconnaître là-dedans :
Cacher tes affaires, en soirée chez ta pote, en club ou en festival, en t’assurant que c’est une super idée pour les garder bien au chaud. Ouais parce que trois heures après, 4 joints et 6 verres plus tard, tu risques de chercher tes bails au fond de ta chaussure : « whaaat mais siii j’ai rangé ma brosse à dent ici putain », « mais Thomas, on est à la Concrete, de quelle brosse à dents tu parles ? ».
Jouer aux fléchettes alors que t’es complètement fusillé. On dit surtout ça pour le bien de tes partenaires de jeu. Toi, c’est déjà peine perdue t’façon.
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Être complètement bourré, te sentir pousser des ailes et avoir la mauvaise idée de prendre un taz. Parce que bon, le mélange est pas ouf, et quand tu te retrouves à danser complètement allumé, et que tu te mets a vomir partout dans la foule, tu risques fortement de te retrouver en PLS à la croix rouge. Oui, c’est du vécu et c’est certifié "mauvaise idée".
Te lancer dans une conversation un peu trop compliquée pour ton état d’ébriété. Tu risques d’oublier de quoi tu parles, de perdre le fil, de t’éparpiller, de raconter les détails compromettants de ta vie devant des inconnus. Bad idea.
T’improviser chef cuisto en rentrant de soirée. Non, mélanger gnocchis, banane, jambon cru n’a JAMAIS été une bonne idée, même à 4h du matin. Vraiment, jamais.
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Appeler ton boss et démissionner, parce qu'après tout, t’es fait pour briller sur le dancefloor. Le lendemain, c’est les larmes qui risquent de faire briller tes yeux.
Boire la veille de ton vol Costa Rica - France. Rater ton vol. Perso, mon porte-monnaie crie encore famine.
Rentrer chez soi en trottinette électrique. Certes, c’est la super nouvelle tendance parisienne. Et certes, t’as le mérite de ne pas rentrer en voiture. Sauf que quand t’es bourré, dans la descente de la rue de Ménilmontant, t’es pas à l’abri d’un bras cassé. Et c’est pas chez toi que tu risques de rentrer, mais à la Salpê.
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Passer un week-end démentiel et être encore dans un état lamentable le dimanche matin. Refuser le dur retour à la réalité et décider de monter dans le premier train pour aller voir la mer. Arriver à Caen : « putain mais elle est où la mer ? ». Prendre un café à la gare et rentrer bien dégoûté.
Te lancer dans un plan à trois avec les premiers venus. Eux-mêmes torchés comme pas possible, à tous les coups. Déjà parce que y'a de fortes chances que tu te retrouves dans un plan plus galère que triangulaire. Ensuite parce que tu seras bien loin du glamour de Vicky Cristina Barcelona ; t’es bourré, est-ce que tu penses vraiment que tu vas réussir à prendre un quelconque plaisir en te concentrant pour ne pas vomir, franchement ?
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Et encore, on a évité de parler de ton ex. Parce que c’est vrai qu’on le répète souvent, mais on le répétera jamais assez : appeler ton ex bourré, que ce soit pour baiser ou l’insulter, ça reste la PIRE idée.
En espérant que ça vous serve de leçon, et à nous aussi d’ailleurs. C'est pour le bien de nos dignités à tous.