5 zones érogènes dont vous ignoriez l\'existence

undefined 19 juin 2018 undefined 15h35

La Rédac'

Mesdames, messieurs, bonsoir. Si vous avez cliqué sur cet article, c'est que vous vous êtes sûrement lassés de la léchouille d'oreilles, du mordillage de tétons et du massage de pieds. À la bonne heure, ces pratiques sont devenues presque désuètes. Soyez disruptifs, faites place aux aisselles, à l'arrière du genou et à l'intérieur du coude.


Les aisselles

Dégueu, vous dites ? Sortez donc de vos carcans : la peau est fine et donc sensible au toucher et aux caresses. Attention aux chatouilles, mieux vaut y aller en douceur afin de ne pas bloquer l’excitation. Quoiqu'une crise d'hilarité vaille mieux qu'un air dégoûté (proverbe inconnu).


Les plis des coudes, poignets, genoux...

Incroyable mais vrai : La peau des plis, des coudes, des poignets, située derrière les genoux, ou sous les fesses est (sensée être) glabre et fine. De base donc, les capteurs sensoriels situés dans le derme réagissent beaucoup plus vite aux stimuli. Par ailleurs, ces zones sont protégées des frottements du quotidien et n'ont donc pas "l'habitude" d'être stimulées, ce qui les rend plus sensibles encore.


Le nombril

On l'oublie souvent et pourtant les scientifiques (et les adeptes) sont formels. On vous conseille d'y aller avec la langue, vous nous en direz des nouvelles. Enfin si vous voulez, hein.


L'intérieur des cuisses

Si tous les chemins mènent à Rome, autant s'arrêter sur le chemin pour bivouaquer non ? 


Les avant-bras

L'intérieur des avant-bras plus précisément. On caresse du bout des doigts et lentement, pas comme des brutes, on vous voit venir d'ici.