Avec le confinement, la pollution de l'air n'a jamais été aussi faible à Toulouse

undefined 29 mars 2020 undefined 18h40

Arnaud Mourier

Après l’annonce du confinement il y a maintenant deux semaines, la présence de dioxyde d'azote s'est faite plus faible que jamais dans la ville rose. Nous sommes en effet maintenant moins exposés à un gaz qui est particulièrement mauvais pour la santé. C'est ainsi que l'on respire mieux (même si on ne sort plus de chez nous pour en profiter de façon optimale) et qu'à terme les effets ne pourront en être que positifs.

On observe enfin aujourd’hui le résultat du confinement sur la qualité de l’air. Et c’est plutôt sympa.

Maintenant on espère que ces constatations positives donneront quelques idées à chacun d'entre nous et que des décisions seront prises une fois le confinement terminé (moins de voitures pour des destinations desservies par les transports en commun ça serait déjà un bon début...).

À Toulouse, la qualité de l'air s'est grandement améliorée pour atteindre des résultats encore jamais vus depuis que des études quant à cette dernière sont réalisées. La raison : moins de voitures sur la rocade, moins de transports en commun et des entreprises plus ou moins à l'arrêt et qui polluent forcément moins.

En revanche, il est important d'aérer son appartement en ouvrant ses fenêtres chaque jour pour renouveler l'air. Finalement, il a du bon ce confinement.