Dans le Lot-et-Garonne, un lama portant des traces de mutilation a été retrouvé mort

undefined 4 septembre 2020 undefined 16h08

Manon Merrien-Joly


« C'était tranché net, comme si cela avait été fait par une lame. Il n'y avait pas d'autres marques sur le corps. Cela ne pouvait donc pas être un animal qui l'avait attaqué », a expliqué ce vendredi le propriétaire de l'alpaga à La Dépêche, décrivant une bête craintive, difficile à approcher. 

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L'heure est à la recherche de réponses pour ce propriétaire et pour la gendarmerie qui s'est saisie de l'affaire après avoir découvert des photos de l'animal sur un groupe Facebook nommé "protection chevaux 47", postées par une jeune fille qui s'occupe occasionnellement de chevaux dans les environs. C'est la cellule d'enquête ouverte à Paris qui répertorie toutes les exactions commises contre des animaux et en particulier des chevaux, particulièrement visés par des actes criminels ces dernières semaines.

Prochaine étape : l'autopsie du corps de l'animal qui révèlera s'il a été anesthésié avant d'être mutilé.