Ce qui nous manque le plus quand on quitte Paris

undefined 7 décembre 2016 undefined 00h00

Rachel Thomas

On a beau la critiquer tout ce qu’on peut, dire qu’elle pue, que ses habitants sont pas sympas, que l’ambiance dans le métro c’est pas trop ça… on l’aime et on ne la quitte pas. Mais si un jour vous décidiez de quitter la capitale pour vous envoler vers d’autres aventures extra-parisiennes, quelles sont les choses qui vous manqueraient le plus ?

La baguette croustillante

Que l’on aille en province ou à l’étranger, rien de tel qu’une délicieuse baguette croustillante tout droit sortie du four. On ne sait pas trop pourquoi elle est meilleure à Paris - on mise sur la compétition - mais il est rare d’acheter une baguette en carton. Avec du beurre, du pâté, ou du bon camembert, on a parfois du mal à la partager…

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Une photo publiée par Yury Kolesnichenko (@monsieurbaguetteberlin) le


Les boulangeries

En gros, il y en a tous les 50 mètres avec une variété souvent assez incroyable de pains et de viennoiseries différentes. Ailleurs, non.


Le Vélib’

Un vélo quasiment gratuit qui vous emmène d’un point A à un point B grâce aux nombreuses pistes cyclables à disposition dans toute la capitale, quoi de mieux pour vivre Paris à fond ? Bon, il est un peu lourd, on vous l’accorde. Mais ça fait pas de mal aux cuissots.

Où suis-je ? #automne #paris #velib #iloveparisinthefall #birds #autumninparis

Une photo publiée par Vélib' (@velib) le


Le vin pas cher

On se plaint que les verres de vin en terrasse à Paris coûtent la peau des fesses, mais ce sont souvent d’excellents vins soigneusement sélectionnés. Et pour ceux qui radinent, les petits rades de quartiers font souvent des verres pas trop dégueu à 3€ (sans que ce soit de la piquette). Ne pas trop en abuser quand même, surtout si vous repartez en Vélib’.

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Une photo publiée par Guillaume Dagorn (@guidarkthrasher) le


Les terrasses de cafés

Elles ont mauvaise réputation et les serveurs sont parfois désagréables mais qui n’aime pas se poser en terrasse, café noisette à la pince, pour juger les tenues des autres passants ?… Non ?

Super hot summer evening in the city of lightâÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂœ¨ #paris #PortraitsParisiens_by_ar1cha // Если столбик Ñ‚еÑ€момеÑ‚Ñ€а даже после девяти вечеÑ€а не опускается ниже 30 гÑ€адусов, Ñ‚о лучший сценаÑ€ий для Ñ‚акого вечеÑ€а - это взятÑÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂŒ свой лÑÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂŽбимÑ‹й авÑ‚обус под номеÑ€ом 70 в напÑ€авлении ГоÑ€одской Ратуши и оÑ‚пÑ€авиÑ‚ÑÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂŒся смоÑ‚Ñ€еÑ‚ÑÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂŒ закаÑ‚ с Нового ÐÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂœостаðŸÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂ’«ðŸÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂΠ

Une photo publiée par Arina Chapaeva (@ar1cha) le


Les expos avant-gardistes

Paris reste fidèle à sa réputation de capitale culturelle en proposant chaque année une programmation à en faire pâlir toutes les institutions mondiales. Les galeries se comptent par centaine et on ne se lasse jamais des vernissages ou d'enfiler notre casquette de pique-assiettes.

– Andres Serrano à la MEP – La MEP consacre pour la première fois une grande exposition à Andres Serrano et propose un panorama très humain de son œuvre en exposant ses portraits, résolument contemporains mais qui évoquent également la peinture des grands maîtres du passé du Titien ou Delacroix à Tintoret, Vélasquez ou Courbet. L’exposition présente une sélection d’oeuvres issues de 9 séries de l’artiste, réalisées entre 1990 et 2015 et s'attache en grande partie à son travail sur les sans-abri notamment avec sa dernière série « Denizens of Brussels » (2015) révélée en France pour la première fois ! Photo : Andres Serrano devant le portrait « J.B., Pimp (América), 2003 » lors du vernissage de son exposition à la MEP © Jean Merhi #AndresSerrano #AndresSerranoMEP #MEP #ArtContemporain #ExpoPhoto #ExpoParis #portrait #America

Une photo publiée par Maison Européenne de la Photo (@mep_paris) le


La fête à l’infinie

Qui a dit que la nuit se meurt à Paris ? Les nouveaux petits collectifs prennent exemple sur la nuit berlinoise ou londonienne pour nous proposer des teufs dignes de ce nom quasiment tous les weekend et plus si affinités. On peut aujourd’hui faire la fête le matin, comme l’aprem, comme la nuit. Ailleurs non.

#alterpaname #planetopera #villepinte #grandparis

Une photo publiée par Thomas Rième (@thomas.rieme) le


Le métro, toujours à deux pas

Avoir quatre lignes différentes autour de soi et rejoindre en moins de 30 minutes les quatre coins de la capitale pour retrouver ses potes, ce n'est possible qu'à Paris. Vive le métro parisien !

#paris #nofilter #metro #metroparis

Une photo publiée par MJNM (@mariajesusnm) le

Le style négligé assumé mieux que personne

En jean, baskets, cheveux en pagaille, gros pull XXL, les parisiennes arrivent à être belles et stylées en bougeant à peine le petit doigt. Ailleurs, ça existe ?

 

â›”ï¸Â #ruedragueuse #streethappens

Une photo publiée par Poppie de Paris (@poppiedeparis) le

Les immeubles haussmaniens

Nos yeux s'y habituent et on a tendance à prendre tout ce qu'on voit pour argent comptant, mais un seul week-end à l'étranger suffit pour être ébahi devant tant de beautés architecturales à notre retour.

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Une photo publiée par Marine Hoff (@marine_hoff) le

Notre fière appartenance aux quartiers

Qu'ils vivent Rive Gauche ou Rive Droite, les Parisiens ont tendance à défendre leur territoire. Chaque arrondissement est un petit village auquel on est fiers d'appartenir et on a dû mal à quitter nos petits commerces (bars) de proximité.

Alors, toujours envie de partir ?