D’après une étude, la pratique de l'escape game augmenterait les performances sexuelles

undefined 1 avril 2020 undefined 15h52

Antoine Lebrun

C’est une étude nationale très sérieuse qui nous apprend une nouvelle pour le moins surprenante… Selon les chercheurs du CNRS de Genève, effectuer des casse-têtes stimuleraient l’hémisphère gauche du cerveau, liée au sens de la logique. Et dans ce cas précis, une petite zone proche de l’hypothalamus qui contrôle notre désir sexuel et notre capacité à obtenir des orgasmes puissants.

Menée en Juin 2019 auprès d’acteurs et actrices pornographiques, cette étude a analysé les performances de 169 sujets durant une année entière selon plusieurs critères : le nombre d’escape game joués, la fréquence de jeu, le taux d’hormone sexuelles dans le sang, la qualité de l’érection (pour les hommes seulement), le nombre de rapports sexuels, le nombre d’orgasmes obtenus, d’orgasmes provoqués et de positions sexuelles moyennes par rapport. Une fois ces données récupérées, les scientifiques ont établi un critère de performance sexuelle (une note de 0 à 10). Selon l’étude, il existerait une corrélation très forte entre la pratique de l’escape game et la qualité de la performance sexuelle. Le célèbre acteur X, Rocco Siffredi, qui est au passage l’un des plus fervents aficionados d’escape game, aurait obtenu la note de 9,8/10. Il aurait révélé dans le Roma News avoir « eu la moyenne pour la première fois de sa vie… ».


© ANSA

Performance sexuelle et effets secondaires

Néanmoins, certains chercheurs avant-gardistes seraient prudents quant aux conséquences que pourraient provoquer la pratique « extrême » de ces jeux d’évasion. En effet, le taux de testostérone de certains sujets mâles aurait subi une augmentation fulgurante ! Pour cette raison, 12 joueurs seraient actuellement en observation clinique après avoir développé des symptômes lycanthropiques : pousse de poils longs sur tout le corps, modification du nez en museau allongé, développement de griffes, apparition de dents pointues, amélioration de l’iris oculaire… Oui, il semblerait que les sujets les plus atteints se transforment en loups garous.

Bien que de nombreux scientifiques réfutent cette information, la modification cellulaire est une hypothèse plus que probable depuis la parution des derniers travaux du docteur américain B. Garcia. Si jamais vous souhaitez booster les performances dans le lit de votre partenaire (au point de devenir un animal sauvage…), il ne vous reste qu’une seule chose à faire : jouez aux escape games sans modération !


Sources : Institut Scientifique « Mission Evasion – Escape Game Lyon », 2020

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