Sous le soleil azuréen, dans les hauteurs feutrées du Parc Impérial, une demeure historique s’apprête à changer de mains. La villa « Les Lucioles », joyau d’élégance Belle Époque au charme haussmannien assumé, vient d’être mise sur le marché. Son prix ? 4,35 millions d’euros. Mais plus que les chiffres, c’est l’histoire, le cachet et le prestige de cette bâtisse centenaire qui fascinent.
© Côte d’Azur Sotheby’s realty
Érigée en 1912 à la demande d’Édouard Soulas, un négociant en viandes revenu riche d’Argentine, la maison n’a cessé depuis d’accumuler les strates de noblesse et de raffinement. En 1924, elle passe entre les mains de Jules Vanderpol, qui confie sa métamorphose aux architectes Dalmas père et fils – une signature qui résonne encore dans l’ADN architectural niçois. Résultat ? Une villa tout en distinction, aux lignes Art déco régionalistes, où l’élégance ne prend pas une ride.
© Côte d’Azur Sotheby’s realty
Une demeure d'exception de 17 pièces
Derrière sa façade discrète se cache une surface de 366 m² et pas moins de 17 pièces : moulures d’époque, cheminée restaurée, mosaïques, volumes généreux… On se croirait dans un décor de film, quelque part entre La Main au collet et Call Me by Your Name. La cuisine, aux accents méditerranéens, mixe avec brio la céramique et les matériaux nobles. À l’étage, une suite parentale de 50 m², deux chambres dont une avec terrasse privative, un rooftop, une buanderie, un bureau baigné de lumière et même un studio indépendant. Dehors, le tableau se complète d’un jardin paysager de 740 m², d’une piscine rectiligne et d’un garage pour garder ses trésors à l’abri.
© Côte d’Azur Sotheby’s realty
Vendue en exclusivité par Côte d’Azur Sotheby’s Realty, la villa « Les Lucioles » ne se contente pas d’être un bien immobilier : c’est une part de patrimoine niçois qui se négocie ici. Un écrin de prestige où passé et présent dialoguent en toute harmonie, dans un des quartiers les plus convoités de la Baie des Anges. Un rêve d’élégance, à condition d’avoir le portefeuille bien étoilé.
Source : Nice-Presse