À seulement 33 ans, Sélim M’Nasri a déjà roulé sa toque aux quatre coins du monde. Formé auprès de pointures comme Marcel Ravin, Dominique Crenn ou encore Alexandre Mazzia, il a exploré les cuisines de Monaco à Singapour avant de revenir poser ses casseroles dans sa ville natale. Avec Épicentre, il signe sa première adresse et injecte son ADN jusque dans le logo du restaurant : son empreinte digitale. Les assiettes évoluent au gré des pêches, des récoltes et des inspirations du chef. Les épices, véritables fils conducteurs de sa cuisine, viennent sublimer chaque produit.
Parmi les plats déjà cultes, une daube niçoise twistée au cacao, un gravlax de chinchard ou encore une truite confite. Et pour ceux qui aiment l’expérience totale, deux menus dégustation dévoilent la créativité du chef : le “7 épices” (89€) et le grand menu Shingenchi servi à la table du chef (149€).
Une équipe soudée et des producteurs mis à l’honneur
Derrière chaque assiette d’Épicentre, il y a une équipe passionnée et un réseau d’artisans triés sur le volet. En salle, le sommelier Ken Durao marie vins et plats avec élégance, pendant que le jeune chef de partie Sébastien Lougassi et l’adjoint Hiseam Bardai orchestrent la cuisine avec précision. Les producteurs locaux ne sont pas oubliés : maraîchers, pêcheurs, bouchers ou encore maîtres épiciers participent à écrire l’histoire du lieu. Une démarche sincère qui place l’humain au cœur du projet, et ça se ressent dans l’assiette.
Déjà l’une des tables les plus prisées de Nice
Ouvert du jeudi au lundi uniquement le soir, Épicentre joue la rareté… et ça marche ! Affichant complet plusieurs jours à l’avance, le restaurant s’est rapidement hissé parmi les adresses les mieux notées de la ville, avec près de 200 avis Google unanimement dithyrambiques ! Une success story éclair qui confirme que Nice avait soif d’une table à la fois pointue et profondément ancrée dans son territoire !
