Un voyage sensoriel en plein cœur de Tokyo
Dès que l’on franchit la porte, plus un doute, on a quitté la Bretagne. Lanternes rouges, kanjis lumineux, néons à gogo, petites enseignes façon ruelles tokyoïtes… Ikimasho a imaginé un décor qui fait vibrer instantanément notre âme de voyageur. On se croirait dans un mini Shinjuku, version stylée et confortable.
Le plus fun ? On circule entre les tables comme si l’on déambulait dans un marché street-food. Et cerise sur les ramens, la bande sonore nous plonge dans l’ambiance japonaise avec des sons de rue que l’on pourrait entendre à Shibuya. Résultat : un dépaysement immédiat, sans passer par l’aéroport.
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Des assiettes qui font itadakimasu à tous les coups
Côté cuisine, Ikimasho prend son rôle très au sérieux. Le chef mise sur les incontournables du Japon : ramen généreux au bouillon parfumé, donburi bien garnis, gyozas crousti-moelleux, yakitori grillées à la perfection, miso, tempura, nouilles… tout y est ! Les amateurs de douceur ne sont pas oubliés, mochi, dorayaki et autres délices sucrés viennent clôturer le voyage comme il se doit. Les recettes sont fidèles aux saveurs nippones, avec des produits frais et un savoir-faire qui respecte les techniques traditionnelles. Et comme tout le monde a sa façon de découvrir le Japon, le menu propose également des options veggie et quelques créations plus audacieuses pour les palais aventuriers. En bref, chacun y trouve son bonheur !
Un concept qui cartonne déjà en France
Avant de ravir les Nantais, Ikimasho a fait un carton à Paris. Curieux, foodies, fans de culture japonaise… tout le monde s’est précipité pour vivre cette expérience hors du commun. Et si chaque adresse reprend les codes du Japon moderne, la décoration s’adapte à l’esprit de la ville qui l’accueille : pas de copier-coller, mais un vrai parti pris créatif.
Ikimasho, ce n’est pas juste un bon resto japonais. C’est une escapade, une parenthèse immersive qui fait oublier l’espace d’un repas que l’on n’est pas à 10 000 km de Tokyo. On ressort le ventre plein, la tête ailleurs… et avec l’envie folle d’y retourner.