Le rappeur Naps accusé de viol : il conteste

undefined 7 octobre 2021 undefined 12h43

Lisa B

Histoire sombre aujourd’hui dans Napsosphère. Le rappeur Naps, tout droit venu de Marseille ayant fait le tour de la toile cet été avec son grand tube "La Kiffance", est accusé de viol, comme l’a annoncé le média Le Point. L'enquête a été ouverte ce dimanche 3 octobre, avant d’être confiée au deuxième district de la police judiciaire de Paris (2e DPJ). Derrière la plainte, une jeune femme âgée de 20 ans qui aurait été victime du présumé viol dans une boîte de nuit à Paris : les faite se seraient déroulés dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. La jeune femme - dont l’identité est tenue secrète - affirme qu'elle a sympathisé avec Naps, avant que les deux aillent dans un hôtel ensemble, à quelques encablures du club. C'est précisément à ce moment que le rappeur aurait abusé sexuellement de la jeune femme. Celui-ci a cependant contesté les faits.

"Elle affirme (...) ne pas avoir été en mesure de repousser l’agresseur présumé car tous ses membres étaient paralysés (...). À ce stade, l’absorption de substances toxiques n’est pas avérée, le service d’enquête était ce mercredi dans l’attente de résultats toxicologiques", peut-on lire dans les colonnes du Le Point. Le rappeur Naps n’a de son côté pas manqué de temps pour réagir sur ses réseaux. Mercredi 6 octobre 2021 sur Instagram, le rappeur a fait un communiqué sur Instagram : "Je conteste évidemment l'ensemble des faits allégués. Je vois dans la presse les rumeurs qui circulent et recirculent... ça salit mon nom alors que j'ai rien fait, j'ai même pas été contacté par la police je sais même pas de quoi il s'agit en vrai", avant d’ajouter qu'il déposerait plainte pour dénonciation calomnieuse.  

L’artiste marseillais qui sortira prochainement son album y voit un « drôle » de hasard – comprenez par-là une sorte de piège pour salir sa réputation à l’aube de sa sortie très attendue. Il a en effet précisé « Okay Clairement ça cherche à me nuire avant la sortie de Best Life mais la justice fera son travail avec moi quand ils m’appelleront, et on lâche rien. » Affaire à suivre.