Dans le cadre du projet international Human Rights Tattoo, presque 4 700 lettres ont d’ores et déjà été tatouées sur le même nombre de personne, le principe étant d'iscrire une lettre par volontaire.
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Et ce week-end, le projet Human Rights Tattoo a posé pour la première fois ses valises en France et plus particulièrement dans 2 lieux marseillais, le Coco Velten ainsi que le MUCEM.
Il était donc possible de "donner" un centimètre carré de sa peau pour ce beau projet à Gritou aka @gritou.tattoo ou Anna aka @_anna_sokolov une inscription en amont.
Mais c'est au MUCEM qu'on a pu et que l'on peut toujours apercevoir la fresque photographique détaillant l’état d’avancement du processus.
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Human Rights Tattoo à Marseille
Le MUCEM et le Festival de Marseille accueillent pour la première fois mondiale l'œuvre d'art corrélé avec le projet de Sander van Busse qui s'entoure de brillants tatoueurs du monde entier. Les parchemins des droits étant une représentation visuelle du projet de tatouage des droits de l'homme.
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La manifestation de ces parchemins fait référence à la première forme de l'humanité de textes écrits à la main à l'encre sur du papier, en utilisant à la place du support papier, la peau humaine. Ce travail en cours présente toutes les lettres tatouées à ce jour, rendant ainsi lisibles en tatouage les 23 premiers articles de la déclaration des droits de l'homme.
Cette exposition rendue possible par Kunstloc Brabant, MUCEM et le Festival de Marseille est disponible jusqu'au 9 juillet.