30 trucs qui rendent fou le Marseillais

undefined 17 décembre 2018 undefined 11h59

Sian

S’énerver, c’est la spécialité du Marseillais. Quand on le titille, qu’on l’embête ou que quelque chose se trouve sur son chemin, tu peux être sûr que le Marseillais, cette créature bruyante, hyperbolique mais attachante, va rapidement commencer à brailler, et probablement avec son accent et quelques insultes. Pour éviter d’avoir affaire avec un phocéen vener, voici la liste non exhaustive des trucs qui le rendent fou :

  • Quand l’OM perd. C’est la raison principale de sa colère (et souvent, du coup…). Attendez-vous à un « Vas-y viens pas me parler ! ».
  • Quand il pleut. Avec 300 jours de soleil par an, le marseillais a pris de bonnes habitudes…
  • Quand il neige, ça le fait sourire 3 minutes, puis il s’énerve sur la circulation, le froid, la boue…
  • Les vélos quand il est en voiture, et qu’il peut rester coincé de très longues minutes derrière un cycliste… On n’est pas encore au point niveau vélos, pistes cyclables et écologie
  • Quand il va dans un restaurant branché mais qu’en fait il préfère manger un coucous ou une bonne grosse pizza pour 8 euros.
  • Quand il essaie de prendre un vélo en libre-service et qu’il en reste deux, un sans freins et l’autre avec le pneu crevé.
  • Quand la voiture de devant roule trop lentement et qu’il peut pas la doubler. Non, il n’est pas pressé mais oui, il va lui faire du forcing quand même.

    • Quand il arrive au bar et qu’il ne sert plus de pastis. Mais quel genre de bar n’a pas de jaune ???
    • Quand il va enfin balader au Panier, dans les Calanques ou à Notre-Dame-de-la-Garde… Avec 1350 autres touristes.
    • Quand ses potes de l’Ouest lui proposent une chocolatine… Un pain(g) au chocolat bordel !
    • Quand on vient lui vendre des roses quand il dîne avec son (sa) meilleur(e) pote, il l’aime beaucoup mais pas jusqu’à lui acheter des roses sans raison.
    • Quand il se fait pointer devant une boîte qu’il connaît bien et que les deux cagoles de derrière passent sans problème.
    • Quand il est à la plage est qu’il y a « un nuage sur le soleil »… Malheur suprême.
    • Quand il attend le bus… éternellement.
    • Quand il cherche une place pour se garer, et qu’il préfère prendre le risque de payer une amende plutôt que le parking.
    • Quand il y a des bouchons dans toute la ville pour un match de rugby.
    • Quand il y a une grève des éboueurs et que c’est le festival des rats et des odeurs.
    • Quand il va boire un verre sur le Vieux-Port et qu’il croise tout Marseille.
    • Quand il veut aller à la plage en semaine en septembre mais que la plage est full. Personne n’est au boulot ou quoi ?
    • Ceux qui viennent lui taxer une clope, puis du feu, puis 20 centimes en l’espace de moins d’une heure, sur la terrasse d’un café.
    • Quand on le klaxonne. Seul lui-même a le droit de klaxonner.
    • Quand on lui demande « d’attendre », l’angoisse la plus totale.
    • Quand il tombe derrière un camion d'éboueurs, et qu’en plus il tourne dans la même rue que lui, il sait qu’il va louper sa réunion du lundi matin.
    • Quand il veut juste aller aux toilettes dans un café et qu’on lui demande quand même de consommer.

  • Quand il prend le métro, descend dans un parking ou passe dans une ruelle et que ça sent la pisse.
  • Quand il veut prendre le métro et qu’il y a 14 minutes d’attente.
  • Quand il y a du mistral est que toute sa terrasse, ses affaires et sa coiffure s’envolent.
  • Quand on lui dit que Marseille c’est sale, dangereux et pas « ouf » alors que c’est la plus belle ville du monde.
  • Quand il va en boîte et qu’il y a 30% de cagoles et 70% de kékés.
  • Quand on lui dit qu’il exagère comme un Marseillais. « Moi, j’exagère ? »

Rend pas fou, tcha compris ?