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Installé en Presqu'île depuis 10 ans, ce magasin emblématique a fermé ses portes à Lyon

undefined undefined 4 août 2025 undefined 12h30

undefined undefined 4 août 2025 undefined 13h25

Antoine Lebrun

Après neuf années de douce tentation sucrée, la boutique du Comptoir de Mathilde située au 54 rue de Brest a baissé le rideau le 26 juillet dernier selon les informations d'Actu Lyon. Une petite note laissée en vitrine annonce sobrement la fin de l’aventure : « C’est la fin d’un délicieux chapitre, mais ce n’est pas la fin de notre histoire. » Un adieu au goût de praliné pour cette adresse qui avait su séduire les passants en quête de gourmandise artisanale en plein cœur de la Presqu’île.

Le Comptoir de Mathilde reste bien vivant à Lyon

Pas de panique pour les amateurs de pâtes à tartiner décadentes et de chocolats à casser : deux autres adresses lyonnaises du Comptoir de Mathilde restent ouvertes. Les franchises du Vieux-Lyon, rue Saint-Jean, et celle du centre commercial Part-Dieu continuent d’accueillir les becs sucrés avec le même enthousiasme. De quoi satisfaire toutes les envies, que ce soit en mode balade dans les ruelles pavées ou session shopping frénétique.

Derrière cette fermeture, pas de signe d’essoufflement pour la marque. Fondée en 2007 par un entrepreneur stéphanois, Le Comptoir de Mathilde a conquis les palais et les villes de France avec son univers rétro et ses produits ultra régressifs. Avec 150 boutiques, un chiffre d’affaires qui dépasse les 40 millions d’euros, et une stratégie de franchise bien rodée, la maison continue de tracer sa route vers les sommets du chocolat.

Une fermeture qui ne freine pas la gourmandise

Si l’on ignore les raisons exactes de la fermeture rue de Brest, difficile d’imaginer un manque de clients dans cette artère très passante. Peut-être simplement une page logistique ou stratégique qui se tourne. Quoi qu’il en soit, les Lyonnais pourront continuer à craquer (et croquer) pour les créations de la marque sans avoir à faire trop de kilomètres. Parce que, soyons honnêtes, qui pourrait résister à une fondue au chocolat prête à l’emploi ?

Source : Actu Lyon