La Promenade : entre Nice et le Nord, il n’a pas choisi
La Promenade, c’est un peu le trait d’union entre les racines niçoises du chef Rémi Navello et son amour du terroir nordiste. Œuf parfait, magret-purée de patate douce ou saint-jacques/risotto aux morilles, c’est précis, généreux, toujours élégant. Bonus : la terrasse et la partie de pétanque si le soleil est de sortie.
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Repu : le spot de quartier devenu grande table
Au Repu, Abdelkader Belfatmi (ex-Val d’Auge et Laiterie) mise sur une cuisine brute et travaillée : ris de veau aux morilles, gnocchis maison, truite de l’Artois… Et une carte des vins bien pensée pour l’accompagner. C’est chaleureux, décontracté, et ça fait plaisir de retrouver un resto bistronomique dans la métropole qui ne se prend pas trop au sérieux.
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Club Marot : une valeur sûre du centre-ville
Un resto chic sans être figé, porté par une jeune team familiale qui sait ce qu’elle fait. Chez Club Marot, du menu découverte au menu wagyu/scallops/foie gras, tout est maîtrisé, équilibré, et bien envoyé. Belle carte des vins, service aux petits soins… et un dessert pomme granny qui mérite sa propre ovation.
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Millésime : pour les amateurs de cuisson douce
Ici, pas de cuisson violente. Tout est vapeur, basse température ou cru. Résultat : des plats hyper sains mais ultra savoureux, avec un vrai parti-pris esthétique. Chez Millésime, la carte change chaque mois, les accords vins sont soignés et le staff fait ça avec amour. L’adresse idéale pour manger différemment sans rien sacrifier au goût.
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Félicie : l’expérience la plus surprenante de Loos
Chez Félicie, on y vient pour se faire surprendre. Menus à niveaux de "twist" culinaire, cocktails accordés aux plats, desserts à base de radis, animations en salle, fumaisons à table... C’est audacieux, ludique, et vraiment réussi. Une perle bistronomique (et un peu barrée) à deux pas de Lille.
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Bleu Canard : la cuisine du marché qui claque
Dans ce resto rue Pierre Mauroy, on vient pour le décor rétro, les assiettes toujours surprenantes & délicieuses (mention spéciale au tataki d’espadon) et la carte des vins et bières qui fait plaisir. C’est local, créatif et toujours bien sourcé. Pour les fans de cuisine japonaise, une petite mention au voisin de Bleu Canard aussi au voisin Aokamo, dans un tout autre genre mais qui mérite le détour.
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