La nouvelle pépite de la rue de Gand
Derrière le projet, on retrouve les serial-restaurateurs Benjamin Moréel, Christopher Préchez, Lénaïs Da Costa Fernandes et Étienne Sorlot, déjà aux manettes d’adresses bien connues comme Eva ou Lefty. Après Paris, leur concept de bistrot asiatique créatif débarque enfin à Lille, et ça valait le détour.
Dès l’entrée, on est happé par l’ambiance feutrée et réconfortante du lieu : murs aux tons chauds, lumières tamisées, touches asiatiques sans clichés. On s’y sent bien, un peu comme dans un bistrot d’Hanoï remixé à la sauce lilloise.
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Une carte pleine de surprises
Côté assiette, John Weng revisite les classiques à sa manière. Les nachos de wonton & guacamole ouvrent le bal avec croustillant et fraîcheur, tandis que les raviolis frits au cream cheese et herbes fraîches jouent les stars de l’apéro version (très) gourmande.
Et puis il y a le fameux burger de ramen : un OVNI délicieux : les pains remplacés par des galettes de nouilles croustillantes, la viande fondante, un oeuf coulant, la sauce relevée juste comme il faut (bien qu’il en manquerait peut être un poil pour qu’on se régale encore plus) ! Mention spéciale aussi au cromesqui de gambas et caramel salé, une dinguerie sucrée-salée qui fait l’unanimité.
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Les prix restent doux pour la qualité : entrées entre 8 et 11 €, plats entre 15 et 23 €, desserts entre 8 et 10 €, et la carte changera au fil des saisons.
Le futur spot incontournable du Vieux-Lille
À la croisée entre la brasserie française et la street food asiatique, John Weng signe une cuisine inventive et accessible, dans une ambiance ultra-chaleureuse. Et petit bonus : un bar asiatique ouvrira bientôt juste en face, avec cocktails, sakés et petites assiettes à partager.