Aliénor d'Aquitaine (1122-1204)
Reine de France puis reine consort d'Angleterre, Aliénor d'Aquitaine est née en Gironde et a joué un rôle primordial dans l'histoire médiévale de l'Europe.
©National Museum of Wales
Michel de Montaigne (1533-1592)
Montaigne était un philosophe, écrivain érudit et homme politique français, surtout connu pour ses "Essais". Il est né et au château éponyme situé en Dordogne, a grandi à Bordeaux et a donné son nom à l'université anciennement dénommée Bordeaux-III pour les intimes.
Montesquieu (1689-1755)
Aussi connu sous le nom de "Charles-Louis de Secondat" ou de "baron de La Brède", Montesquieu était un philosophe et écrivain célèbre pour son ouvrage "L'Esprit des lois". Il est né près de Bordeaux et a vécu une grande partie de sa vie dans la région. Il se murmure même qu'il aurait vécu dans un immeuble de la rue des remparts, au cœur du triangle d'or. Ce qui explique pourquoi la rue est classée UNESCO.
©Bibliothèque nationale de France
Richard Wagner (1813-1883)
Le célèbre compositeur et chef d'orchestre allemand Richard Wagner a vécu à Bordeaux pendant un certain temps pendant son exil politique. Il y a composé certaines de ses œuvres les plus importantes, comme "Tristan et Isolde".
©Olyrix
Gustave Eiffel (1832-1923)
L'indrétrônable Gustave Eiffel, qui a conçu la dame de fer en 1889 à Paris (ou encore la Statue de la Liberté à New York et le Viaduc Maria Pia à Porto) est natif de Dijon mais a étudié à l'École Centrale de Bordeaux. Il a également travaillé sur de nombreux projets d'ingénierie en France et à l'étranger. Figure appréciée des Bordelais, l'exposition "Gustave Eiffel, une vie monumentale" faisait honneur à ses œuvres sur les quais. Elle s'est terminée ce lundi 4 septembre.
Jean-Paul Sartre (1905-1980)
Bien que le philosophe existentialiste soit né à Paris, il a vécu à Bordeaux pendant un certain temps et a même enseigné à l'université. Cet éminent philosophe a eu une influence majeure sur la pensée du XXe siècle avec ses pensées engagées. De nature fidèle et humble, il a toujours rejeté les honneurs comme le Prix Nobel en 1964 et la Légion d'honneur en 1945 pour ne pas entraver sa liberté en faisant de lui une institution.
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